La sombre histoire derrière le « réchauffement climatique » du GIEC. « The Dark Story Behind Global Warming aka Climate Change »
Par F. William Engdahl
La récente conférence sur le réchauffement climatique des Nations Unies, sous les auspices du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC [International Panel on Climate Change, IPCC]) au nom trompeur, a conclu ses réunions en Corée du Sud en discutant des moyens drastiques à mettre en œuvre afin de limiter l’augmentation mondiale des températures. Comme nous pouvions nous y attendre, les Médias PC[1] ont fait commerce des scénarios alarmistes les plus variés, « prédisant » des changements climatiques catastrophiques du fait des émissions humaines de gaz à effet de serre, spécialement le CO2, si des changements drastiques dans nos styles de vie n’étaient pas urgemment entrepris. Cependant il y n’a qu’une chose qui cloche avec tout ça : c’est basé sur de la fausse science et des modèles climatiques corrompus, qui ont récolté jusqu’ici des milliards en fonds de recherche gouvernementaux afin d’appuyer les arguments prônant un changement radical de nos niveaux de vie. Nous pourrions tout de même nous demander : « de quoi parlons-nous vraiment ici ? ». Or la réponse n’est en rien positive…
La rencontre du GIEC de l’ONU a discuté des mesures requises, d’après leurs modèles informatiques, afin de limiter l’augmentation de la température en deçà de 1,5°C au-dessus des niveaux de l’ère pré industrielle. … ...
Ce nouveau Rapport « SR15 » du GIEC, déclare que le réchauffement mondial de 1,5° va « probablement » amener des espèces à l’extinction, des météos extrêmes et des impacts risqués sur les approvisionnements alimentaires, la santé ou la croissance économique. Afin d’éviter cela, le GIEC estime les investissements requis en matière d’énergie seuls, à quelques 2400 milliards de dollars par an.[4] Est-ce que ceci pourrait expliquer l’intérêt des banques mondiales majeures, et spécialement celles de la City de Londres, à pousser toujours plus avant cette carte du réchauffement climatique mondial ?
Ce scénario présente une dimension encore plus incroyable en ce qu’il est généré par une fausse science basée sur des données trafiquées produites par un groupe de scientifiques du climat international triés sur le volet, qui dispensent un discours scientifique tellement polarisé qu’ils se sentent obligés de qualifier leurs collègues scientifiques qui tentent d’argumenter non plus comme des sceptiques du réchauffement climatique (climatosceptiques), mais à présent comme des « négationnistes du changement climatique ».[5] Qu’est-ce que suggère ce numéro éhonté de programmation neurolinguistique ? Les négationnistes de l’holocauste ? Parlons plutôt ici de comment on peut tuer un débat scientifique légitime, et même tuer l’essence de la vraie science à vrai dire. En 2007 David Millibank, le Secrétaire britannique à l’Environnement proclamait en effet : « le débat au sujet de la science du changement climatique est bel et bien clos », tandis que Susan Solomon, la coprésidente du GIEC mettait en garde contre les changements climatiques à venir suivant les choix de développement que feront les humains.[6]
Mais ce que le panel d’experts de l’ONU a choisi d’ignorer, ce fut le fait que ce débat est tout sauf « clos ». Le projet de pétition sur le changement climatique [Global Warming Petition Project], signé par plus de 31 000 scientifiques américains, déclare en effet qu’« il n’y a pas de preuves scientifiques convaincantes que le dioxyde de carbone, le méthane et les autre gaz à effet de serre émis par les humains causent ou seraient de nature à causer à l’avenir dans le futur prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre susceptible d’engendrer une perturbation du climat. De plus, il existe des preuves scientifiques substantielles selon lesquelles une augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique produit un certain nombre d’effets bénéfiques sur les plantes de la nature et l’environnement animal de la terre ».[7]
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https://reseauinternational.net/la-sombre-histoire-derriere-le-rechauffement-climatique-du-giec/
Sous-titres :
Effrayer sans cesse les foules par des prévisions sans cesse démenties
Des données scientifiques faussées comme base des recommandations du GIEC
Maurice Strong, malthusien coopté par D. Rockefeller dans un but bien précis.
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Ainsi, le GIEC de l’ONU et son agenda sur le réchauffement climatique, constitue un projet politique et non pas scientifique. Son dernier rapport est comme les précédents, basé sur une science fausse et sur une fraude complète. ...