par Bibi Lun 27 Mai 2019 - 14:00
troubaa a écrit:non
Les massacres de trotsky dans le gouvernement lenine ce ne sont pas des contes non plus
La guerre froide entre Staline et le monde libéral n'est pas un conte non plus
Il n'y a que dédé95 pour croire que staline était l'ami des libéraux.Je dois avouer que tu as gagné le premier prix de la plus belle ânerie que j'ai lu ici !
Je remets le texte de wikipédia sur Trotski certains ont dû le zapper...
Lénine Staline et Trotski étaient les mêmes dans leur genre :
"
L'usage de la Terreur comme système de gouvernement, après le coup d'état des bolchéviques, est légitimé par Trotski, la violence étant nécessaire pour «
terrifier l'adversaire ». Il ne se distingue pas sur ce point des autres dirigeants. Mais Trotski est un des bolchéviks allant le plus loin dans la théorisation et la justification de la violence politique et de la Terreur. Il expose notamment ses vues dans son livre Terrorisme et communisme.
Durant la guerre civile russe,
Trotski était parmi les dirigeants bolchéviques les plus prompts à utiliser la violence politique et la terreur, comme à les justifier au nom de la lutte pour la victoire de la révolution. Son contemporain Boris Souvarine estimait, plus tard, ainsi que « Trotski était persuadé que toute difficulté, toute résistance pouvaient être surmontées par ce seul mot : “fusiller !”. »
Trotski est, avec Lénine, à l'origine d'un appareil de répression inédit en Russie tsariste, le camp de concentration. Le 8 août 1918, il ordonne la création des deux premiers camps en Russie, à Mourom et à Arzamas, destinés aux « agitateurs louches, officiers contre-révolutionnaires, saboteurs, parasites, spéculateurs. » Il n'est toutefois pas le seul dirigeant bolchévique à avoir cette conception de la violence politique, Lénine enjoignant dès le lendemain d'« enferme[r] les koulaks, les popes, les gardes blancs et autres éléments douteux dans un camp de concentration. » Il fait ainsi partie des dirigeants communistes qui ont engendré ce qui allait devenir le Goulag, qui sera utilisé dans des proportions bien plus massives par Staline durant son règne, bien qu'il ne l'ait pas initié.
Michael Heller et Aleksandr Nekrich, auteurs de L'utopie au pouvoir. Histoire de l'URSS de 1917 à nos jours considèrent ainsi que
les divergences entre Trotski, Staline et Lénine sont sur le fond infimes ; les querelles de personnes les ayant opposés ne pouvant cacher la profonde unité de leurs conceptions politiques, et partant, de l'histoire soviétique sous ces différents dirigeants" (wikipédia)
Dernière édition par Bibi le Lun 27 Mai 2019 - 14:02, édité 1 fois