Il fait de plus en plus chaud à qui la faute !

L'homme fait partie de la nature, a moins de considérer que les animaux ne sont pas un composant de la nature, et l'homme pas un animal!
Décidemment vla que les climato fausse septique versent dans le créationnisme!

Une nature toute puissante a laquelle l'homme ne pourrait rien modifier,...regarde autour de toi !
et remplace nature par dieu et empêche toi de penser si tu veux....

force est de constater que l'influence de l'homme est partout !
et encore nous n'avons pas encore décidé collectivement de faire
sauter lar planète, mais on y travaille !

[quote]

komyo a écrit:
force est de constater que l'influence de l'homme est partout !

tout à fait les influences positives et négatives , je suis d'accord .

et encore nous n'avons pas encore décidé collectivement de faire
sauter la planète, mais on y travaille !

D'autant plus que c'est ecrit !!! La fameuses apocalypse c'est donc vrai !!!:affraid: :affraid: :affraid: :affraid:
je confirme : au même titre que certains ont besoin de merveilleux et d'autres pas .
Certains ont besoin de se faire peur et d'autres pas .
Et c'est très bien comme cela tant que .............


amicalement

komyo a écrit:Une nature  toute puissante a laquelle l'homme ne pourrait rien modifier,...regarde autour de toi !
et remplace nature par dieu et empêche toi de penser si tu veux....

force est de constater que l'influence de l'homme est partout !
et encore nous n'avons pas encore décidé collectivement de faire
sauter lar planète, mais on y travaille !

oui l'homme modifie son environnement direct mais il ne modifie pas tout.
Les courants marins ne sont pas modifié
Les vents ne sont pas modifiés
Les marées ne sont pas modifiées
La tectonique des plaque n'est pas modifiée
Le violcanisme n'est pas modifié
Le noyau de la terre n'est pas modifié
etc... la liste pourrait etre longue.

alors non l'influence de l'homme n'est pas partout et ne modifie pas tout.

Est ce que l'homme modifie le climat ? il faut le démontrer et non l'affirmer désolé.

Ce que l'homme modifie c'est sa géographie environnementale. Comme tout etre vivant, son existence modifie on environnement immédiat. ce qui est logique.

Les courants marins ne sont pas modifiés...Ah bon! Il paraît que le Gulf Stream, et il n'est pas le seul, a une fâcheuse tendance à faire l'école buissonnière. Troubaa, abonne-toi à Science et Avenir!
Ma vieille tante a connu le début du réchauffement climatique sans trop en subir les conséquences; elle est restée ma tante jusqu'à sa mort; avec beaucoup de chaud, elle aurait pu devenir mon oncle...

Pour Troubaa, qui aurait du mieux suivre les cours du collège plutot que la meilleure façon d'exploiter son prochain en faculté!
https://www.assistancescolaire.com/eleve/6e/svt/reviser-une-notion/l-action-de-l-homme-sur-l-environnement-6sce09

Les courants marins ne sont pas modifié
Les vents ne sont pas modifiés

SIC
Guf Stream et Jet Stream

http://glaciers-climat.fr/Gulf_Stream/Gulf_Stream.html

Dédé 95 a écrit:Pour Troubaa, qui aurait du mieux suivre les cours du collège plutot que la meilleure façon d'exploiter son prochain en faculté!
https://www.assistancescolaire.com/eleve/6e/svt/reviser-une-notion/l-action-de-l-homme-sur-l-environnement-6sce09

Les courants marins ne sont pas modifié
Les vents ne sont pas modifiés

SIC
Guf Stream et Jet Stream

http://glaciers-climat.fr/Gulf_Stream/Gulf_Stream.html

Bah, quand on confond comme lui, dénégation systématique et doute constructif, il faut s'attendre à ce genre de fausse barbe qui s'apparente plus un sophisme qu'à un raisonnement.
Alors oui, l'homme n'a pas d'impact sur le cours des étoiles, ni sur celui de la galaxie, pas plus qu'il ne contrôle la rotation de la terre et j'en passe.. on dirait du Dan...!

le lien de komyo a écrit:Les conclusions sont à prendre avec beaucoup de recul...

quand on prend les vessies pour des lanternes !

Mais les lanternes certains feraient bien de s'en servir pour regarder le vérités!
Du reste d'autres ont peur qu'on dévoiles les vérités, je les comprends ......

Première gelée en plaine !
chute de neige en montagne !

Et c'est toujours l'été !

oh mince pardon j'ai oublié le dogme :

quand ca se réchauffe => c'est du climat du dérèglement climatique, de la faute de l'homme, bouh bouh le vilain !

Quand ça se refroidit => c'est juste de la météo !

Je manque à tous mes devoirs !

Quoi, y a de la neige fin aout à l'Everest!
Ah au mont Blanc ?
Sur le Cinto ça dure 3 mois, il y a quelques années c'était des neiges éterneles, paroles de Berger pas de climato payés par les lobies tels que Lactalys ....
Son con ces bergers il suffit de construire des hangars à 5000 chèvres et des clim au dessus, le froid chaud, rien de tel avec un additif de Bayer!)
Je rigole pas , c'est hélas un réalité! Preuves à l'appui!

Il délire encore...  quelqu'un comprend ce qu'il a écrit ? il traite les bergers de con allez savoir pourquoi...


allez un peu d'info pour te reveiller les neuronnes :

http://www.macommune.info/article/2c-3c-premieres-gelees-enregistrees-franche-comte-cette-nuit/
regarde en bas de page la belle couche de neige !)

autre recit
UNE BONNE COUCHE DE NEIGE...
35 cm de neige ce dimanche matin du 26 août 2018 au refuge Marmolada (3343m-Dolomites-Alpes Italiennes)...
La neige a blanchi les sommets de Haute Savoie et de Suisse jusqu’à 2200 mètres !
Il gèle aussi dans certaines vallées au dessus de 1500 mètres d'altitude.
Brrr... Cela sent l'hiver en montagne !
Un très grand merci à l'admirable gardien du refuge, Carlo Budel, pour cette magnifique vidéo !


https://www.facebook.com/regiscrepetlachainemeteo/?hc_ref=ARS01UE0rYLUYydiqJldjZmYqaIzQHfkTY0KnaX3eicDF-mB6YtHKOv-M3ze696oGto&fref=nf&hc_location=group&__xts__[0]=68.ARDkQSSinPBGOEPuX9qWEfR0TgWJ6f_rSSy_1zXU92HhM7XLYthr4Roq9QGz6gqkK1FKqnxPObio7behM_Jvmw1pkO6dic5bebOTBWEbqaKs-ZrLQQxpC0VjEPVgw4Cc_H1t91JUfeQPp6oEWRW2N5QxxqqngIO4F_ObiCl6qhDptkv-EGSH&__tn__=kCH-R

(oh il a gelé dans la marne !)

D'après les média

la banquise ne fake disparaitre,
La température ne fake croître
et l'océan ne fake monter !

mon dieu cette semaine a paris, nous sommes en dessous des normes saisonnières !
On nous aurait donc menti ! :affraid: :affraid: :affraid:

Ils ont la clim à l'observatoire de Paris ?

Troubaa, 11 degrés ce matin sur mon thermomètre placé plein Nord; la température la plus froide depuis le printemps! Effectivement la Terre se refroidit! Et il neige en montagne! Ca ne s'est jamais vu!
Mon père avait une vigne dans le bas-Jura (une horrible piquette...). Je me souviens qu'enfant, avant les vendanges, il me faisait rentrer dans les tonneaux par la bonde pour les nettoyer de l'intérieur; je me souviens même des grosses araignées...Il sortait ses trois tonneaux dans la cour; je me souviens de la pellicule de glace qui se formait la nuit sur le dessus des tonneaux; c'était fin Septembre; va chercher de la glace fin Septembre entre Dole et Besançon sur de l'eau en repos! Tu es jeune; fais confiance aux vieux qui ont vu les ours blancs se promener dans la forêt de Chaux...

si tu n'avais pas la mémoire sélective gaston.....

[quote]

gaston21 a écrit:Troubaa, 11 degrés ce matin sur mon thermomètre placé plein Nord; la température la plus froide  depuis le printemps! Effectivement la Terre se refroidit!

bravo Gaston je savais que la gare de Perpignan etait le centre du monde d'après Dali , mais pas que la température de chez toi , pouvait déterminer la température de notre planette . C'est un peu comme quand tu dis qu'il n'y a plus de papillon, car chez toi tu n'en vois plus

Amicalement

en 2003 quelle canicule !

on devait en subir de plus en plus, de plus en plus forte ! qu'y z'avaient dit les experts climatiques à la tévé ....

à cause du réchauffement climatique évidemment ! (suis-je bete j'allais oublier de le préciser... )

résultat il a fallut attendre 2018, soit 15 ans, pour en avoir une autre, mais moins forte....

sans commentaire

j'allais oublié

Evidemment y nous annoncent à la tévé qu'on va avoir maintenant des canicules de plus en plus nombreuses et de plus en plus fortes...

évidemment se sont les experts à la tévé.... alors y savent, eux !

la preuve

troubaa a écrit:

résultat il a fallut attendre 2018, soit 15 ans, pour en avoir une autre, mais moins forte....

mais vous allez voir ce que vous allez voir .......bientôt !!
amicalement

Lu ce commentaire fait en 2013 en réponse a quelques délires d' un libéral auto proclamé expert en climatologie, à lire troubaa ca reste d'actualité...

En fait les « refroidistes » mettent en avant certains faits, certains chiffres, et les présentent de manière à appuyer leur croyance. Les « réchauffistes », eux, sont clairement plus objectifs et modérés. La technique d’argumentation des sceptiques est de faire une courte citation des « réchauffistes » et de la contester, sans traiter du reste ni du fond. C’est ce qui est sans arrêt utilisé ici.

Pour revenir à un peu plus de sérieux !

Une canicule planétaire ?

"C’est absolument incroyable et certainement l’une des vagues de chaleur les plus intenses jamais vue dans l’hémisphère nord", a écrit le météorologue Nick Humphrey sur son blog. Dans le Nord de la Sibérie, des analyses de modèle ont démontré que les températures avaient grimpé de 22 degrés le 5 juillet dernier pour atteindre 32°C. Mais ce n’est rien comparé à l’Eurasie et au Moyen-Orient.

Tbilissi, la capitale de la Géorgie, a connu un pic de température à 40,5°C le 4 juillet tandis que Erevan, la capitale de l’Arménie, a elle enregistré 42°C. Le Sultanat d’Oman lui aussi a battu des records de chaleur le mois dernier avec pas moins de 42,6°C enregistrés le 28 juin. Des pays comme le Pakistan et l’Iran ont quant à eux dépassé la barre des 50 degrés avec, respectivement, 53,5 et 53,7°C.

Cette tendance aux records météorologiques n'est malheureusement pas une nouveauté comme l'a révélé il y a quelques années la NASA dans une animation retraçant les températures de 1880 à 2015. Et la tendance semble être loin de s'inverser. L'année 2017 a ainsi décroché le titre de troisième année la plus chaude enregistrée après 2016 et 2015, selon l'Organisation météorologique mondiale (OMM).

"Dix-sept des 18 années les plus chaudes enregistrées l'ont été durant ce siècle, et le degré de réchauffement au cours des trois dernières années s'est avéré exceptionnel", a expliqué en janvier dernier, Petteri Taalas, secrétaire général de l'OMM. Un phénomène qui pourrait en dire long sur le monde de demain... En 2017, un une étude a suggéré que les trois-quarts de la planète pourrait être exposée à des vagues de chaleur mortelles d'ici 2100.  


et parce que le soleil brille meme sur les imbéciles, une animation de la Nasa faite pour tous ceux qui ont un cerveau entre leurs deux oreilles !  

https://www.maxisciences.com/temperature/la-nasa-devoile-une-carte-animee-du-rechauffement-climatique-entre-1880-et-2015_art37056.html

Ca démarre meme avant 1979 !

A écouter surtout au début : (à la fin c'est les délires des prévisions météo de l'époque...)

un des premiers échange entre un climato-certain et un climato-sceptique, ça date de 1978 et cela concerne le refroidissement du climat !

D'un coté Jean Breton, le climato-certain, qui annonce en 1978 qu'on assiste à un dérèglement climatique et qu'il va faire de plus en plus froid.

De l'autre coté un Albert Simon, le climato-sceptique, qui répond mais non c'est rien ce n'est que de la variabilité naturelle du climat, il a déjà neigé un 9 juillet en Corse et il y a déjà eu des 37° un 9 Juillet, tout cela c'est de la variation naturelle du climat..

En 2018 Albert Simon se serait lyncher et licencier pour avoir tenu de tels propos ! Mais il y a 40 ans le débat était encore possible, les climato-certains n’étaient aussi intolérants et hystériques qu'aujourd'hui.....

bonne écoute : Thomas Legrand France Inter Monsieur Météo, un métier cool en 1978 !

Les connaissances et les moyens scientifiques n'étaient pas les mêmes .....of course!

troubaa a écrit:A écouter surtout au début : (à la fin c'est les délires des prévisions météo de l'époque...)

un des premiers échange entre un climato-certain et un climato-sceptique, ça date de 1978 et cela concerne le refroidissement du climat !

D'un coté Jean Breton, le climato-certain, qui annonce en 1978 qu'on assiste à un dérèglement climatique et qu'il va faire de plus en plus froid.

De l'autre coté un Albert Simon, le climato-sceptique,  qui répond mais non c'est rien ce n'est que de la variabilité naturelle du climat, il a déjà neigé un 9 juillet en Corse et il y a déjà eu des 37° un 9 Juillet, tout cela c'est de la variation naturelle du climat..

En 2018 Albert Simon se serait lyncher et licencier pour avoir tenu de tels propos ! Mais il y a 40 ans le débat était encore possible, les climato-certains n’étaient aussi intolérants et hystériques qu'aujourd'hui.....

bonne écoute : Thomas Legrand France Inter Monsieur Météo, un métier cool en 1978 !

La météo selon troubaa,

tu confonds toujours météorologistes, comme un de tes héros débarqué de son journal et climatologues.. ceci explique probablement cela ! ,

c'est j'avais oublié !

Quand il faut chaud => c'est le climat
Quand il fait froid =>c'est la météo !

oh lalalalalala terrible terrible !

troubaa a écrit:c'est j'avais oublié !

Quand il faut chaud => c'est le climat
Quand il fait froid =>c'est la météo !

oh lalalalalala terrible terrible !

continue a regarder Carlos, ca semble t inspirer !

(modif ortho)

komyo a écrit:

continue a regarder Carlos, ca semi le t inspirer !

je ne comprends que le français désolé !!
amicalement

ha pour les relevés par satellites ca se réchauffe de moins en moins.... mais personne n'en parle.

à noter que sur 40 ans la variation est de -0.5° +0.8°, bref de la variation naturelle.

un graphique de température "non ajustée"...



Allo le réchauffement ?

on comprend pourquoi les banquises se portent mieux....



source et pour avoir plus d'info : http://translate.google.fr/translate?u=https%3A//oz4caster.wordpress.com/monthly-trends/&hl=fr&langpair=auto|fr&tbb=1&ie=UTF-8

Température mondiale : +0,367°C en août 2018
PAR JOHAN LORCK LE SEPTEMBRE 2, 2018
Avec +0,367°C au-desssus de la moyenne 1981-2010, août 2018 est le 6e plus chaud des archives NCEP-NCAR.

Les réanalyses comme NCEP-NCAR intègrent de multiples observations dans un modèle permettant de suivre quasi quotidiennement l’évolution du climat. Les données sont donc immédiatement disponibles, contrairement aux bilans mensuels des stations au sol. Les réanalyses permettent ainsi de se faire une idée des futures annonces des agences comme la NASA, la NOAA et le Met Office qui ne sont pas faites avant le milieu du mois suivant (en l’occurrence à la mi-septembre).


https://global-climat.com/2018/09/02/temperature-mondiale-0367c-en-aout-2018/

ça continue donc depuis el nino, à se refroidir et non à se réchauffer....

et encore se sont des températures "corrigées"

Le relevés satellitaires ne donnent que +0.17°

troubaa a écrit:ça continue donc depuis el nino, à se refroidir et non à se réchauffer....

et encore se sont des températures "corrigées"

Le relevés satellitaires ne donnent que +0.17°

infos a la troubaa...


https://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/climat-les-trois-dernieres-annees-sont-les-plus-chaudes-jamais-enregistrees_1977380.html

Komyo, Troubaa parlais de la T° chez lui, il a installé une clim!
Même les ch'tis ils ont chaud !

non troubaa il s'est s'informer ma&is à quoi bon pour ceux qui ne cherchent pas à savoir....

[quote]

komyo a écrit:Température mondiale : +0,367°C en août 2018
PAR JOHAN LORCK LE SEPTEMBRE 2, 2018
Avec +0,367°C au-desssus de la moyenne 1981-2010, août 2018 est le 6e plus chaud des archives NCEP-NCAR.

suis je con !!!Je croyais depuis mon enfance  qu'il y avait 12 mois  dans l'année . rassure moi   tu me fais perdre tous les repères .
C'est de la folie de comparer la température sur un mois

Amicalement

Et alors Komyo ne parles pas de T° annuel mais celui d'un mois, Aout, en l'occurence.
Oui il n'y a qu'un mois d'Aout dans l'année, on t'a pas appri celà dans ton enfance.
Otes nous d'un doute ?

oui dan maintenant le climat c'est la température sur un mois !

Mais uniquement quand c'est plus chaud !

sinon quand il fait plus froid c'est simplement de la météo, donc on n'en tient pas compte.
ou alors il fait plus froid à cause du réchauffement climatique... et dans ce cas là c'est du climat et c'est grââââââââve !

ps : je corrige ce n'est pas +0.17 que donne les relevés satellitaire mais +0.19°....
mais dans ce cas évidemment on n'en tient pas compte... ca fait pas peur !

Dédé 95 a écrit:Et alors Komyo ne parles pas de T° annuel mais celui d'un mois, Aout, en l'occurence.
Oui il n'y a qu'un mois d'Aout dans l'année, on t'a pas appri celà dans ton enfance.
Otes nous d'un doute ?

Dan a eu dix fois par troubaa des températures sur des périodes courtes, mois ou autre, et n'a rien trouvé a y redire.
Il n'a pas du s'en rendre compte...!

komyo a écrit:

Dan a eu dix fois par troubaa des températures sur des périodes courtes, mois ou autre,  et n'a rien trouvé a y redire.
Il n'a pas du s'en rendre compte...!

pour la ...........eme fois , il faut comparer les température sur des siècles des millénaires , seul problème les relevés datent de ..........

amicalement

N'en déplaise aux vieux grincheux !

https://mobile.lemonde.fr/climat/article/2018/09/04/une-marche-pour-le-climat-rencontre-un-succes-inattendu-sur-facebook-grace-a-l-effet-hulot_5350136_1652612.html

succès sur facebook ! à la bonne heure !      


Evidemment c'est pas du climat mais de la météo vu que c'est de la neige donc du froid !

Mais pire c'est normal vu que c'est l"hivers en Afrique du sud et que le nom de la montagne s'appelle sneeberg ce qui veut dire "montagne de neige",

Mais z'alors cela se réchaufferait-il vraiment ? et cela ce déréglerait-il vraiement ?



Des éléphants et girafes sous la neige.. ce n'est as tous les jours.

C'est vrai que ca doit etre frustrant d etre entouré de gens dans le déni qui font leur numéro années après années, ceci étant pendant que certains s'amusent, comme dans la fameuse croisière, il faut rester positif...!


Ils étudient chaque jour l’ampleur de la catastrophe climatique, ils font face constamment à son déni. La charge émotionnelle des climatologues est un non-dit pesant.
Mardi dernier, le numéro 3 du gouvernement français était en larmes. Non, pas la larmichette du départ. Nicolas Hulot, maintenant ex-ministre de la Transition écologique et solidaire, était effondré, submergé par la tristesse, la voix étranglée par la déception. Il lui a fallu plusieurs secondes et un peu de chaleur humaine pour reprendre son discours de passation des pouvoirs. Des larmes, il en coule tous les jours sur les joues des environnementalistes: de rage, de frustration, de tristesse, de fatigue, face à l’inaction alors qu’on a le feu aux trousses.


Beaucoup des scientifiques de l’environnement sont pris dans cette tourmente-là. Ils ne le montrent pas. Comme tous les travailleurs, ils se cachent pour pleurer; comme tous les chercheurs ils enfouissent leurs émotions sous la montagne de la rationalité. Pour les spécialistes du climat, la charge émotionnelle est particulièrement lourde. Le titre de la carte blanche d’une chercheuse australienne résume bien leur situation: "Quand la catastrophe planétaire est votre boulot quotidien" ("The Monthly", juin 2018). Chaque jour, ils alignent les données sur la vitesse et les conséquences du changement climatique, chaque jour, le rythme des mauvaises nouvelles et des sombres découvertes augmente, chaque jour, ils alertent la société civile, mais las, autant remplir d’eau une passoire. Ils sont à peine entendus, encore moins écoutés, alors suivre leurs recommandations…
Vue en plein écran

Jean Pascal van Ypersele
Noir tableau? Rappelons qu’il y a 26 ans, 1.700 chercheurs dont 100 prix Nobel, adressaient une première "Mise en garde des scientifiques à l’humanité". En 2017, pour le deuxième avertissement, ils étaient plus de 15.000. Le traitement médiatique a duré 24 heures, quand la non-sélection de Radja Nainggolan pour la Coupe du monde de football a fait du bruit pendant des jours. "Les signaux ne sont pas à l’orange, ils sont tous au rouge clignotant, souligne Jean-Pascal van Ypersele, sommité internationale de la climatologie. On écoute trop peu les scientifiques qui travaillent sur ces questions-là. Ce sont un peu les vigies en haut du mât qui avertissent de ce que les autres ne peuvent pas voir. On crie depuis 40 ans et le bateau va toujours dans la même direction."


Abandonner la recherche fondamentale

Face à l’inertie, certains ont quitté la recherche pour tenter de faire bouger les choses plus rapidement et avoir un impact direct. En lançant une start-up ou en rejoignant une organisation. Après sa thèse en biologie, Gauthier Chapelle ne voulait plus faire de recherche fondamentale, mais entrer dans l’action directe. Il travaille pour la Fondation polaire internationale où il met en place des outils éducatifs et explore les recherches sur le climat. À la fin de ses conférences, "il me fallait remonter le moral de tout le monde, le mien compris". Alors il jette ses forces dans le biomimétisme (s’inspirer de la nature pour innover). Il crée une ASBL, écrit des livres, cofonde une entreprise. "Pendant quelques années, j’ai cru qu’avec une approche radicale, on pouvait changer les choses. Mais les changements ne sont pas faits à fond et le biomimétisme a été récupéré par le marketing, le business. C’est du biomimétisme de surface. Je n’y crois plus. Je cesse de mettre de l’énergie dans quelque chose qui ne va pas servir."
Depuis 2015, il se concentre à "préparer au mieux l’avenir, l’après pétrole" et porte cette réflexion dans des livres qu’il écrit ou coécrit, notamment avec Pablo Servigne. Cela paraît pessimiste. Lui se dit lucide. Et puis, il est ainsi sorti de sa "schizophrénie". Quand il donnait des conférences pour alerter, "à un moment, j’ai senti que ça devenait toxique pour moi: en public, je jouais à ‘on va s’en tirer’ alors que je pensais que le monde, tel qu’il est, ne va pas s’en tirer."

Réchauffement climatique: la détresse des scientifiques

40 ans à faire la vigie

Une pensée et un masque, assez répandus chez les scientifiques de l’environnement. Pour ne pas décourager ou démobiliser les autres, ils préfèrent taire leurs pensées profondes. Et, partant, les émotions qui vont avec. Jean-Pascal van Ypersele, qui a été vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), donne 100 conférences par an et quantité d’interviews. "Je suis d’un naturel plutôt optimiste, donc je continue à passer beaucoup de temps à alerter, à expliquer, à informer des possibilités d’agir. Je ne supporte pas la question ‘Est-il trop tard pour agir?’ Il n’est ja-mais trop tard! Même si on a perdu des décennies dans l’action climatique. Même si on la commence aujourd’hui ou demain matin, ça permettra au moins d’éviter le pire", assène-t-il.
"Depuis tout ce temps, on n’a rien fait de substantiel. C’est ça qui est extraordinairement frustrant."

Jean-Pascal van Ypersele
Climatologue
Les plus fins observateurs remarqueront que son discours se fait plus incisif ces derniers temps: on devrait se sentir "en guerre, ou engagés dans une course pour la vie", il a publiquement critiqué l’idée d’élargir le Ring de Bruxelles, il conclut ou commence ses présentations par "il n’y a pas de planète B", etc. Si, dans notre long entretien, le climatologue belge gardait son calme habituel, sourdait toutefois par vagues une exaspération tangible. "Depuis tout ce temps, on n’a rien fait de substantiel. C’est ça qui est extraordinairement frustrant. Oui, la prise de conscience du danger climatique a augmenté, et sans cela on serait peut-être dans une situation encore pire. Mais c’est une consolation bien maigre. On entend qu’il faut réduire les émissions de CO2. Mais il faut comprendre, vraiment comprendre, que le problème c’est l’accumulation de CO2 dans l’atmosphère. Et qu’il ne s’agit pas de diviser les émissions par quatre, il s’agit de stopper totalement les émissions de CO2. Évidemment, ce n’est pas facile et donc on peut comprendre que ça n’évolue pas rapidement. Mais on n’a pas fait grand-chose pour prendre le problème à bras-le-corps. Je suis de plus en plus convaincu que ce problème menace l’habitabilité de la seule planète du système solaire qui soit habitable. On est littéralement en train de scier la branche sur laquelle on est assis. Et on ne peut pas dire que ce soit au cœur des débats politiques, citoyens, des enjeux entrepreneuriaux. Que cela devienne, s’il vous plaît, un enjeu politique majeur. Pas le seul, mais un des enjeux principaux. Si ce débat reste cantonné au sein d’Ecolo et de Groen, c’est une catastrophe", nous dit-il.
Prendre en compte la charge émotionnelle

La frustration, la colère, mais aussi la tristesse et par moments des sentiments de découragement et d’impuissance sont les émotions dont nous ont fait part tous nos interlocuteurs. D’après eux, elles sont partagées par une bonne partie de la communauté des écologues. Si le sujet est tabou (les sciences bannissent les émotions), la question de leur charge émotionnelle commence à affleurer.


Le grand malaise vert
"Produire et consommer moins ? Autant demander aux politiques de s'arracher le foie."
Voyager en surveillant son empreinte écologique
"La côte belge ne survivra pas sous sa forme actuelle" (Jean-Pascal van Ypersele)
Une littérature sur le sujet se développe depuis une dizaine d’années, plus récemment quelques scientifiques abordent le sujet publiquement (Lesley Hugues dans la revue "The Monthly"; Camille Parmesan, chercheuse et corédactrice des rapports du GIEC s’est dite en "dépression professionnelle"; David Griggs, ex-directeur de l’Institut du développement durable en Australie a reconnu des périodes de déprime dans un documentaire télévisé; Naomi Oreskes, historienne des sciences, plaide pour que les scientifiques expriment franchement leurs inquiétudes, etc.).
Enfin, les études scientifiques elles-mêmes commencent à se pencher sur la charge émotionnelle portée par les spécialistes du climat et des écosystèmes (par exemple, Susan Clayton dans "Nature", 2018; Lesley Head et Theresa Harada, dans "Emotion, Space and Society", 2017).

Découragement et colère ne sont jamais loin

Cette charge émotionnelle n’est pas anodine. Brillante chercheuse du FNRS (en climatologie et océanographie), Célia Julia Sapart a songé, à un moment, à arrêter la recherche pour se consacrer à la communication scientifique. "Il y a un tel manque de reconnaissance de notre métier. On ne nous dit jamais rien de positif, on doit tout le temps se battre, se défendre. On manque tellement de financement. Parfois, je me suis sentie seule, comme abandonnée de tous. ça m’est arrivé d’en pleurer: après une mission de plusieurs mois en Antarctique – où les conditions sont très dures, où on a cumulé les problèmes techniques, où on est loin de ses proches –, je suis rentrée et j’ai croisé quelqu’un qui m’a dit ‘Ah ces histoires de changements climatiques, ça me fatigue’. ça nous blesse, personnellement. C’est comme si tout notre investissement ne servait à rien", nous raconte-t-elle.
"Parfois, je me suis sentie seule, comme abandonnée de tous. Ca m’est arrivé d’en pleurer."


Célia Julia Sapart
Chercheuse au FNRS
Elle a dû faire face, aussi, à un fléau (en perte de vitesse) qui touche particulièrement les climatologues: la violence des climatosceptiques. "En 2012, j’ai publié dans la revue Nature un article expliquant que déjà à l’époque romaine, il y avait un impact humain sur l’atmosphère. Pendant des semaines, j’ai reçu des e-mails de menaces, d’insultes, qu’on devrait ‘me pendre sur un piquet en Sibérie’. ça m’a énormément touchée. Au point que c’est le webmaster de l’institut qui dépouillait mes e-mails avant moi. Aujourd’hui, je me suis fait une carapace et depuis cinq ans, je suis beaucoup plus solide face à l’agressivité et au manque de reconnaissance, je réponds de façon claire, sans le prendre pour moi", explique-t-elle.
Finalement, Célia Julia Sapart a jeté toutes ses forces dans la bataille: elle continue la recherche en laissant les émotions de côté et elle communique vers le grand public parce qu’elle est convaincue que les changements viendront par la base, plutôt que sous l’impulsion des dirigeants. "Il faut garder espoir, être positif, chacun a un rôle à jouer. Ce métier est très dur, mais si on ne se concentre pas sur le positif, on ne peut plus continuer", assure la climatologue.
Une attitude comparable à celle d’Edwin Zaccai, directeur du Centre d’étude du développement durable à l’ULB. "Mon mandat en tant qu’académique, c’est de délivrer une connaissance correcte pour montrer les enjeux. Et de former des étudiants en leur donnant une vision juste, en leur montrant les vrais déterminants. Partager du savoir, même si c’est une goutte d’eau, pour moi, ce n’est pas un problème. Reste que ça ne rend pas imperméable au découragement: on voit bien que la moitié des espèces vont disparaître, que les forêts vont brûler, que la forêt tropicale va sans doute disparaître avec sa faune, que ce sont les plus pauvres qui vont être les plus vulnérables… Un jour, dans une conférence, je me suis arrêté. J’ai dit à mon auditoire que j’étais désolé de leur expliquer ça, que ce n’était pas mon choix mais que c’était ce que disait la science. Et j’ai conclu sur du positif car je suis contre le fait de culpabiliser, c’est une impasse. Mais ça déstabilise fort."
Aujourd’hui que l’espoir de vraiment inverser les courbes est très faible, il voudrait trouver des façons de réfléchir à cet échec, à ces perspectives défavorables face à un auditoire. "On doit vivre avec ça et il faut trouver un nouveau narratif. Il y a un travail mental à faire d’une société qui se croyait invulnérable à une société qui se découvre vulnérable", éclaire-t-il.
Que faire de ces émotions?

Pour le psychologue et écothérapeute français Jean-Pierre Le Danff, les scientifiques de l’environnement ont un travail de deuil à faire. "C’est inéluctable. Ils vont faire le deuil d’une trajectoire différente. Et s’il est mené jusqu’au bout, c’est-à-dire en passant par toutes les étapes qui le composent, ce travail de deuil est apaisant. L’acceptation de ce qui est va les rendre plus sereins et mieux placés pour nous aider", explique-t-il.
Pour la psychiatre spécialiste de l’écopsychologie Marie Romanens, il est normal de se sentir en désarroi, en colère, impuissant quand on fait face, comme eux, à un déni du réel de la part des autres. "Il ne faut pas refouler ces émotions, mais se laisser traverser, les vivre. Ensuite, il faut les partager avec d’autres. Cela ne va pas changer le déni mais cela permet de ne pas se sentir seul et de créer du soutien avec les pairs qui ont les mêmes perceptions. Enfin, il faut les écouter: que me disent-elles de faire?", expose-t-elle. Et de rappeler que "l’émotion est motrice d’action. À partir du moment où l’on est pris d’un malaise, de sensations désagréables, cela nous pousse à changer les choses."
La psychologue américaine Susan Clayton relève que pour faire face à ces émotions, les scientifiques ont l’avantage de la communauté: travailler ensemble pour un objectif commun est source de soutien et de validation.
Et puis ils s’accrochent à l’espoir de faire quand même une différence. "Ce n’est pas facile, mais on n’a pas le choix. On est sur une barque qui est en train de couler et j’ai l’impression d’être là avec ma petite cuiller pour écoper l’eau, alors qu’il faudrait une pompe rapide…", se désole Jean-Pascal van Ypersele. Avant de rebondir dans un sourire et une pirouette adressée au public: "L’énergie que j’utiliserais pour me tordre les mains et me lamenter serait de l’énergie gaspillée. Or, si on a besoin d’une chose, c’est d’efficacité énergétique."

komyo a écrit:N'en déplaise aux vieux grincheux !  

https://mobile.lemonde.fr/climat/article/2018/09/04/une-marche-pour-le-climat-rencontre-un-succes-inattendu-sur-facebook-grace-a-l-effet-hulot_5350136_1652612.html

" des dizaines de milliers de personnes sont inscrites à l’événement." sur 70 millions de Français cela fait combien en pourcentage 4, 6, 10 %
il devrait faire une marche pour la paix dans le monde, un climat tempéré pour tous , que tout le monde soit égaux, qu'il fasse beau toute l'année ,pour la pluie dans les régions arides etc etc

Amicalement

N'en déplaise au vieux grincheux, l'événement était mondial ! Si il veut faire dans la comparaison idiote de carottes et de patates auquel il nous a habitué

Sinon sur l'urgence de la situation pour les denialistes de répondre tous bords

https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/climat/il-nous-reste-deux-ans-pour-agir-contre-le-changement-climatique-avertit-l-onu_127387

L'ONU sacré organisme scientifique...!

Déjà à la COP21 on te disait la même chose komyo

et dans 5 ans on te dira toujours la même chose ! on parie ?

Tous les 4-5 ans on te dit la même choses et tous les 4-5 ans tu y crois pareil.... "oh la la on n'a plus que 2 ans apres c'est trop tard...." rhooo lalala

C'est le syndrome du poisson rouge !

Quelle horreur, il faudrait changer de modèle économique ! :affraid: :affraid: :affraid:

Haro sur l' ONU, la NASA, le CNRS et autres organismes empêcheurs de polluer et de faire du business as usual !

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/changement-climatique-climat-rapport-onu-suggere-changer-modele-economique-72786/

en quoi le président de l'ONU est légitime pour nous soortir de telles fadaises...

après l'ONU expert en science climatique
voici l'ONU expert en économie !

De plus en plus pitoyable !

Mais c'est vrai l'ONU organise un "sommet mondial pour l'action climatique" faut bien qu'elle fasse parler d'elle.

Politique spectacle que tout cela.

troubaa a écrit:en quoi le président de l'ONU est légitime pour nous soortir de telles fadaises...

après l'ONU expert en  science climatique
voici l'ONU expert en économie !

De plus en plus pitoyable !

Mais c'est vrai l'ONU organise un "sommet mondial pour l'action climatique" faut bien qu'elle fasse parler d'elle.

Politique spectacle que tout cela.

il est certainement plus compétent que toi en tout cas...

affirmation gratuite. Toujours dans le mépris plutôt que d’être dans le questionnement...

troubaa a écrit:affirmation gratuite. Toujours dans le mépris plutôt que d’être dans le questionnement...

Penser que les experts auxquels se réfèrent l'ONU sont plus compétent que toi, n'a rien à voir avec du mépris.
Parce que tu te penses mieux informé ?