Mon ophtalmo est roumaine, et elle est formidable! C'est grâce à elle que j'ose me rincer l'oeil...Je critique l'usage que nous faisons des étrangers, souvent payés au lance-pierres et clandestinement; mais ne critiquons pas les patrons; ils donnent du travail à ces malheureux! Ce sont des mécènes...Les étrangers nous sont utiles. Ecoutez Catherine Lagarde, une gauchiste patentée!
«Un afflux de réfugiés peut être une réponse aux problèmes démographiques»
Christine Lagarde, directice générale du FMI
Sur la crise des migrants, la patronne du Fonds considère l'afflux de réfugiés «à la fois inquiétant mais aussi porteur de potentialités», pour le continent européen et plus spécifiquement des pays comme l'Allemagne. «Il s'agit d'une chance économique pour des pays dont la population vieillit et, pour certains, dont la population diminue (...) Je serais surprise que, pour difficile à gérer qu'il soit, (ce phénomène) ne constitue pas à terme un atout pour l'économie européenne», tranche-t-elle. Ajoutant toutefois que «la question est beaucoup plus complexe pour des États comme la Jordanie ou le Liban, dont les ressources sont limitées». (Le Figaro)
Quant aux migrants, que ferions-nous à leur place? Certains sont dans des camps depuis quatre ans, au froid intense l'hiver, dans une chaleur épouvantable l'été, et dans des conditions d'hygiène épouvantables. Faut-il leur reprocher de fuir?
«Un afflux de réfugiés peut être une réponse aux problèmes démographiques»
Christine Lagarde, directice générale du FMI
Sur la crise des migrants, la patronne du Fonds considère l'afflux de réfugiés «à la fois inquiétant mais aussi porteur de potentialités», pour le continent européen et plus spécifiquement des pays comme l'Allemagne. «Il s'agit d'une chance économique pour des pays dont la population vieillit et, pour certains, dont la population diminue (...) Je serais surprise que, pour difficile à gérer qu'il soit, (ce phénomène) ne constitue pas à terme un atout pour l'économie européenne», tranche-t-elle. Ajoutant toutefois que «la question est beaucoup plus complexe pour des États comme la Jordanie ou le Liban, dont les ressources sont limitées». (Le Figaro)
Quant aux migrants, que ferions-nous à leur place? Certains sont dans des camps depuis quatre ans, au froid intense l'hiver, dans une chaleur épouvantable l'été, et dans des conditions d'hygiène épouvantables. Faut-il leur reprocher de fuir?